dimanche 29 juin 2014

The jungle dress

Ouh! me voilà végétalement féline

Dimanche, une fin de journée avec un soleil boudeur. Pour ce look je vous présente cette robe dénichée pendant le premier jour des soldes (coup de cœur!). Elle colle parfaitement à la tendance surfant sur les imprimés tropicaux. C'est vrai que pour ceux qui me connaisse, ils diront "encore du bleu". Mais c'est pas de ma faute, c'était un coup de cœur. Quoi qu'il en soit, outre l'imprimé qui a attiré mon regard, j'apprécie sa légèreté et sa longueur. J'ai dû prendre une taille M, mes épaules étant un peu trop avenantes. C'est pas grave le côté over size me plait aussi. Je n'aime pas trop être étriqué dans mes vêtements. 

A elle seule, je trouve qu'elle habille toute la silhouette. Alors pas la peine d'en faire des tonnes. Ainsi, je l'accessoirise avec ce méchant collier façon dents de félin (grrrrr!). Frileuse comme pas deux, j'ai choisi de calmer le tout avec un trench assez structuré à taille. Avec mes talons, l'ensemble donne un peu de hauteur. Mais pour obtenir quelque chose de plus cool, rien n'empêche de la mettre avec des sandales, des bottines. De même, si le côté over size vous fait faire "bof", pas de soucis une ceinture (pour ma part une petite ceinture fine de préférence rouge) à la taille, fera l'affaire. Après tout chacun fait comme il a envie et/ou comme il peut. 








Robe: Zara 
Collier: New look
Bracelet: H&M
Chaussure: Unisa
Nouni E.


mercredi 25 juin 2014

Ma chemise en jean

Passe partout sur tous les looks

Aujourd'hui il y'a un petit vent, donc je sors ma chemise en jean. Attention ce n'est pas systématique, mais aujourd'hui c'est une évidence. J'aime bien la marier à toutes les sauces. Elle apporte ce côté léger et pas très sérieux à la silhouette qui ne me laisse pas indifférente. Inspiré ou non lors de la composition d'un look, je trouve en cette pièce un allié fort. Souvent, je n' hésite à la porter ouverte ou nouer sur une robe un peu sage. Néanmoins j'évite le total look jean, surtout si les deux pièces sont de la même couleur (attention à l'effet monobloc!). 

En plus de ma petite chemise, j'ai ressortie mes chaussures dit de "la mariée". Oui, elles ont participé à embellissement du jour "J". De la marque Krammer Paris, je les avaient trouvé en 2009 au Printemps à Paris. J'aime beaucoup leur design, chose à souligner, elles sont vraiment confortables. Durant le jour du mariage, j'avais pu tenir toute la journée sans souffrir en silence. Ce sont de vrai pantoufle! Je les aiment beaucoup. Normal, elles ont une part affective! De plus, associées à l'ensemble de la tenue, elles viennent rehausser tout ça avec une certaine classe. 




Chemise Zara
Collier Iam
Jupe Monoprix
Bracelet H&M
Chaussures Krammer Paris

Nouni E.

dimanche 22 juin 2014

Mes cheveux sur l'air du tralala !

My big chop, mais je dirais encore plus Mes big chop...

Mon rapport avec mes cheveux a été assez tumultueux. Pour vous les décrire de dirais qu'ils sont fins. Néanmoins à l'avenir je compte faire une réelle expertise capillaire digne de ce nom (ceci fera très certainement l'objet d'un autre article).

Mon premier défrisage a été effectué entre 14 et 15 ans, histoire de faire comme toutes les coquines. J'en avais marre de mes cheveux naturels que je ne savais pas maîtriser, sans aller voir une coiffeuse. Pour information, j'ai passé mon adolescence au Congo/Brazzaville. A cette période j'avais une coiffeuse qui embellissait mes cheveux (paradoxe j'aimais comme même mes cheveux tels qu'ils étaient!) avec grand soin. Quoi qu'il en soit, j'ai tout de même fini par céder aux champs envoûtant du défrisage avec ses promesses (souplesse du cheveu, facilité du coiffage et surtout longueur du cheveu).

Et là, échec totale, résultat des courses: un cheveu cassant, sans vie. Mais malgré cette mésaventure, je n'ai pas hésité entre quelques périodes au naturelle à renouveler l'expérience dans l'espoir que cela marche pour moi. "Attention, je tiens à préciser qu'il ne s'agit pas de procéder à une censure du défrisage. Mais il s'agit plutôt de vous faire part d'une expérience personnelle. 


Le long chemin vers l'acceptation

A partir de 2003, je commence à comprendre que mes cheveux ne tolèrent pas le défrisage, même avec les produits d'entretien les plus chers. Soit dit en passant, je n'ose même pas imaginer les sous jeter par la fenêtre pour l'entretien de mes cheveux défrisés. A partir de cette année, le défrisage est mis de côté, je valse donc entre tissages, tresses, vanilles ou cheveux naturelles plaqués avec du gel. Bon! Jusqu'ici, je n'ose pas encore lâcher ma touffe. Eh! bien quoi, Paris ne s'est pas fait en un jour!

2009, est une grosse année en terme de changement pour moi. Et mon rapport exécrable avec mes cheveux ne sera pas en reste. En effet, je me baptise, je me marie, j'opte pour une nouvelle orientation professionnelle, je quitte la région parisienne (sniff, sniff...) et je prends la décision de ne plus défriser mes cheveux c'est donc mon BIG CHOP DEFINITIF pour la vie.

Juillet 2006: dernier défrisage dans un salon de coiffure à Paris quartier Gare du Nord, après une longue période au naturelle. Mon "Big chop définitif pour la vie" est la résultante d'une reprise des racines ratée avec le produit défrisant de chez Phytospécific. J'ai toujours apprécié leurs produits, mais malheureusement pour moi, je me suis mal débrouillé. Je n'avais pas été précise quant au temps d'attente après l'application du produit. Je me suis retrouvé avec des cheveux partiellement défrisés et cassés surtout au centre de ma tête. Quelle horreur!

13/02/2009: transition réussie. Essayage pour le mariage quartier Saint Lazare Paris.



Essaye pour le mariage à venir. Je m'approprie mes cheveux, je dirais même plus "mes propres cheveux". Merci! Fredo pour ce boléro fait sur mesure. 




Dimanche 22/06/2014
Chemise: Zara
Collier "moustache" et accessoire tête: Six
Voilà de façon condensé, la présentation de l'histoire d'une fille empêtrée dans le choix  "d'être ou ne pas être avec ses cheveux naturels". Dans un prochain article, je vous ferai part du choix de porter des dreadlocks et de mon évolution capillaire. 
Nouni E.







jeudi 19 juin 2014

Mes chaussures pour tous les étés

Je suis souvent plate, j'ai un joli nœud devant...
Je suis, je suis... La ballerine bien sûr ! 

Eh oui ! la ballerine, voici un classique inclassable et indémodable que l'on trouve dans les placards des filles et des femmes, aussi diverses soient elles. Pour vous, je vais la faire parler cette petite minette. Oui, je peux faire parler les chaussures et plein d'autres choses (lol).

Pouf et coussin Ikea

"Je suis si légère avec toi. Avec moi tes pieds jouissent d'un confort absolu. Mes créateurs ont eu la très bonne idée de me faire plate (la plus part du temps) et si élégante. Tu peux m'accorder à tous les styles, je ne te déçois jamais. Eh oui ! je suis comme ça. Je suis du genre fidèle moi, contraire à mes cousines les escarpins. Oui, je reconnais qu'elles aussi sont jolies dans leur genre. Mais avec moi, admets que tu pourras courir toutes les fashion weeks. Working girl que tu es, tu pourras vaguer à des occupations sans problème. Je serais toujours en place et en plus j’embellirais toujours tes jolies pieds." 

Alors, elle n'est pas mal cette petite chaussure. Moi je l'apprécie énormément, pendant l'été c'est un allié de taille. Pour ma part, je la choisie chez Repetto. Ah! là,  je trouve que c'est  vraiment la classe. En plus c'est du made in France. Compte tenu de la conjoncture économique actuelle traversée par nos entreprises, c'est une manière comme une autre de pouvoir encourager ce savoir-faire Français. Outre, sa "technique de fabrication unique", cette marque incarne la sophistication de la parisienne, mais je dirais plus encore de la Française. 

Cette ballerine est née d'une histoire d'amour entre une mère et son fils. Est-ce ce qui l'a rend si désirable ? Je vous laisse méditer. On est en 1947. L'histoire veut, qu'en voyant son fils revenir de la dance avec les pieds dans un sale état, Rose Repetto réalise une paire de pointes (chaussure de dance) plus adaptée. Le concept est alors révolutionnaire. Cousue à l'envers, la semelle possède alors un effet d'amortisseur  pour le pied de l'artiste (puretrend.com). A partir de là, une légende est née. Depuis, elle va se décliner dans tous les styles et tous les designs. Elle est coquine cette ballerine ! 



Attention, je suis belle mais prenez soin de moi, dit-elle.

Oui, mes Repetto, j'en prends soin. Depuis que je l'ai acheté, elles sont toujours dans leurs boites. Habitant dans une région plutôt pluvieuse, avant de les porter je scrute très sérieusement la météo. Eh !oui,  elles valent bien ça c'est jolies minettes. Une fois j'ai été surprise par une méchante pluie, mais pas de panique, ce jour là, elles ont survécu.

Pour finir je vous propose de visionner cette vidéo, qui me semble intéressante. Oui, je suis de ceux qui pense que tenter de consommer intelligemment est possible. En effet, je relativise mes propos car on sait qu'essayer de comprendre le système de fabrication des entreprises relève du parcours du combattant. Qu'à cela ne tienne, quant j’achète quelque j'aime bien connaitre l'histoire du créateur afin de l'accorder au mieux à la  personne que je suis. Mais là encore, il ne s'agit que de mon seul point de vu.


Reportage BFM TV: Repetto, les secrets d'une réussite

Nouni E.



mardi 17 juin 2014

Stella Jean: une muse

Elle le fait et elle le fait si bien...

Je la découvre il y'a à peu prêt deux mois en surfant sur le site pagnifik... Elle est tout simplement MA-GNI-FI-QUE. Ex mannequin de son état, elle se reconvertie et lance sa marque de luxe "Stella Jean". Italo-Haitienne, elle est née à Rome. Au cours de mes recherches, j'ai cru comprendre qu'elle est soutenue par Georgio Armani, entre nous, quel soutien de poids ! Ce qui m'a séduit chez elle, vous l'avez compris c'est non seulement l'utilisation du wax mais c'est surtout le juste mélange des imprimés (entre wax et tissus à rayures). L'avoir débusqué a été un réel plaisir pour les yeux. 

Certainement, qu'elle n'est pas la première à l'avoir fait, mais je trouve qu'elle le fait si bien. Ses collections me donnent vraiment envies de manger une bonne salade de fruits frais. Oups! je m'égare un peu, mais c'est l'effet que ça me procure. Dans son inventivité, elle est arrivée à créer une alchimie quant au mélange des matières, des formes (les lignes et les fleurs) rendant le tout explosif. Ce mixe crée une dynamique est donne du caractère à toute la silhouette.  

Son leitmotiv "Wax and stripes philosophy, comprenez la philosophie du wax et des rayures" (Jeune Afrique.com).  Ces tissus ont la particularité d'être confectionnés par des femmes du Burkina Faso évoluant dans le cadre du projet Ethical Fashion promu par l'ONU (le courriervietnamien.net), dont le sloggan est "not charity, just work". Et oui, la mode n'est pas si futile. C'est la preuve que l'on peut allier l'utile à l'agréable. 


Stella JeanStella Jean
La silhouette Stella Jean est tout simplement superbe, je pense que vous m'avez comprise. La longueur des jupes ou des robes par exemple, elle ne fait pas dans  le vulgaire tout est dans l'élégance. Merci ! de rendre les femmes so chic! 

Pour votre plaisir je vous laisse avec cette vidéo "You tube", elle y présente sa collection Autonne/Hiver 2014 lors de la semaine de la mode milanaise. 

Nouni E.

dimanche 15 juin 2014

Petit look sur le pouce

Petit look et petit goûter !

Le soleil n'est pas vraiment au rendez-vous, le vent est frais c'est une journée mitigée. Une rencontre de groupe de jeunes (rencontre entre jeunes chrétiens) est organisée. Après s'être fait du bien autour de l'évangile nous partons nous restaurer autour d'un barbecue. Au menu merguez, chipolatas et salades composées. Pour ma part, j'ai opté pour une salade fraîche, petit estomac oblige. Pour finir différents gâteaux sont servis avec des crêpes.

Mmmh! j'ai encore un peu de place, je jette mon dévolu sur les crêpes et j'y ajoute un peu de Nutella. Oui, du Nutella, en ce moment il n'a pas vraiment la cote, mais quant j'en vois il m'est difficile de résister. En effet, toute cette polémique a remis en cause la consommation de ce produit. Donc, dans le doute j'en achète très rarement.

Mais c'est comme tout, "faites tout avec modération et maîtrise..." C'est trop bon! 



robe  Kookai 
scandale K jacques couleur or 
petit sac en cuir marron Massimo Dutti (petit sac de tous les jours)
Collier New look

Je pense que cette robe Kookai est issue de la collection 2010-2011. Quoi qu'il en soit, je me sens bien dedans et surtout elle a des poches (j'aime les poches, c'est pratique). De plus elle vieillit bien. C'est vrai depuis des années,  j'ai réellement un coup de cœur pour cette marque. Je trouve qu'elle se maintient et se renouvelle tout en gardant son identité. 


Néanmoins, pour dynamiser le tout, l'idéal aurait été d'ajouter un sac avec une couleur plus vive. Voilà c'était mon petit look sur le pouce.
Nouni E.

jeudi 12 juin 2014

Le wax: mon inspiration du moment

Plus qu'une inspiration, c'est une redécouverte...

Je ne sais plus de quelle manière je suis tombée sur la mode autour du pagne. Mais je sais que c'est en surfant sur le net. C'était surement en faisant des recherches sur les dernières tendances à la mode ou en prenant des nouvelles de l'évolution économico-politique de Congo. 

Quoi qu'il en soit, me replonger dans cette autre "manière de s'habiller", a été un réel plaisir des yeux et une grande satisfaction personnelle. Touché au vif par tant de couleurs et de caractère, c'est presque tous les jours que je fais des recherches (les stylistes, Vlisco (grande marque Hollandaise du pagne, site internet dédié...). 

Ma réflexion va également à la rencontre de souvenirs d'enfance. Élevée par ma grand-mère, je me souviens qu'elle avait tout une malle remplie de pagnes plus particulièrement de la marque Vlisco. Ces derniers étaient délicatement pliés et jalousement gardés. De ces tissus, elle se confectionnait des vêtements en tenant en compte des dernières tendances. Elle avait pour habitude de faire coudre un haut à sa convenance et terminait son look par une juxtaposition de deux pagnes. Le premier solidement noué à la taille qui tombe jusqu'aux chevilles. Quant au deuxième, elle venait tout simplement le poser avec une légèreté qu'elle seule a le secret. Je la vois encore le nouer et le renouer avec élégance lorsqu'il venait à se défaire. Ce second pagne allait de la taille jusqu'aux genoux à peu près .  
Pagne Vlisco satiné acheté chez Toto + tissu Vichy
Mon projet avec cet ensemble de tissu et de pouvoir faire confectionner une tunique chez une couturière. Mais mon but final serait de pouvoir coudre himself (projet à développer). Bref, je pense que ce qui est une (re)découverte va vite devenir un style à  part entière de ma garde de robe. Je pense développer ce post au fur et à mesure. 
Nouni E.
petit croquis d'une tunique simple (devant et dos)